Don de l’Association DMLA : 15 000 euros qui permettent au projet de démarrer

De gauche à droite : Michèle Zerbib, la trésorière de l'association DMLA, Marc Joubert, ex président de l'association DMLA, le Pr Nicolas Leveziel, chef du service d’ophtalmologie du CHU de Poitiers, François Fanton, le président de l’Association DMLA, Séverine Masson, directrice générale adjointe du CHU de Poitiers, et Anaïs Balbous, ingénieure de recherche.
De gauche à droite : Michèle Zerbib, la trésorière de l’association DMLA, Marc Joubert, ex-président de l’association DMLA, le Pr Nicolas Leveziel, chef du service d’ophtalmologie du CHU de Poitiers, François Fanton, le président de l’Association DMLA, Séverine Masson, directrice générale adjointe du CHU de Poitiers, et Anaïs Balbous, ingénieure de recherche.

L’Association DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge) a remis un chèque de 15 000 euros au fonds Aliénor, le 1er décembre, au CHU de Poitiers. Ce don bénéficiera au Pr Nicolas Leveziel, chef du service d’ophtalmologie du CHU de Poitiers, qui porte un projet de recherche sur la DMLA. “Nous souhaitons comprendre les causes de cette maladie dont on ne traite actuellement que les symptômes, a-t-il précisé. Et comme on ne peut pas faire de test sur les souris car elles n’ont pas de macula, nous travaillons sur des modèles de DMLA créé à partir de cellules souches humaines pour tester de nouvelles molécules thérapeutiques avant de commencer les essais cliniques.”

“Ce don de 15000 euros est tel une goutte d’eau que le colibri apporte, mais nous sommes très heureux de participer à ce projet”, se réjouit François Fanton, le président de l’Association DMLA. La goutte d’eau qui manquait pour permettre au projet, dont le montant s’élève à 144 000 euros, d’atteindre le seuil des 50 % de financement requis pour son lancement. En tout, les dons et le mécénat ont permis de recueillir un total de 84 700 euros et c’est le CHU de Poitiers qui complètera le financement.

“Notre association qui a pour but de soutenir et informer les patients, d’organiser le dépistage et d’apporter de l’aide à la recherche clinique a maintenant dix ans, indique Marc Joubert, ex-président de l’association DMLA. Nous sommes toujours très à l’écoute de tout nouveau projet de recherche concernant la DMLA car beaucoup d’essais récents ont échoué.”