Mécénat : AGR2 La Mondiale remet un chèque de 56 000 € pour le projet sur la DMLA

AGR2 La Mondiale remet un chèque de 56 000 € pour le projet sur la DMLA
AGR2 La Mondiale a remis un chèque de 56 000 € au fonds Aliénor pour soutenir le projet sur la DMLA.

« Seul on va plus vite, ensemble, on va plus loin. C’est parce que nous adhérons parfaitement à la philosophie de ce proverbe africain que nous souhaitons soutenir des projets comme celui du Pr Nicolas Leveziel », a affirmé Jean-Michel Carteau, président du comité social territorial régional Centre Ouest Atlantique AG2R Reunica Arrco. Les administrateurs du groupe AG2R La Mondiale – représentés par Amaury de Préville, directeur régional d’AG2R La Mondiale, Magali Geffroy, présidente de la commission régionale prévoyance, et Alain Molina, vice-président de la commission régionale prévoyance – ont donc concrétisé cette volonté en remettant un chèque de 56 000 euros au fonds Aliénor, le 26 septembre, au CHU de Poitiers.

Signature de la convention entre Jean-Pierre Dewitte, directeur général du CHU et président du fonds Aliénor, et Amaury de Préville, directeur régional d’AG2R La Mondiale.
Signature de la convention entre Jean-Pierre Dewitte, directeur général du CHU et président du fonds Aliénor, et Amaury de Préville, directeur régional d’AG2R La Mondiale.

Dans le cadre de ses orientations sociales, le groupe AG2R La Mondiale est soucieux du bien vieillir de ses assurés et est conscient que la malvoyance engendrée par la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est un handicap. Accompagner la recherche fondamentale sur la DMLA permettra ainsi d’améliorer l’autonomie des personnes âgées et donc leur maintien à domicile. »La DMLA, qui touche un million de personne en France, est un enjeu de santé publique, a indiqué Jean-Michel Carteau. En soutenant ce projet, nous souhaitons contribuer à l’excellence médicale du niveau local au niveau international et au travail innovant de l’équipe du Pr Leveziel. » « Pour le moment, les traitements de la DMLA soignent les conséquences de la maladie mais ne la guérissent pas, a ajouté le Pr Leveziel, chef du service d’ophtalmologie. Avec Audrey Leguen, doctorante, et Anaïs Balbous-Gautier, ingénieure de recherche en thérapie cellulaire, nous sommes en train de développer un modèle que nous allons tester sur des souris dans l’année qui vient. »