Sébastien Guilbault – chargé de mécénat au fonds Aliénor

Depuis le 20 juin 2023, un nouveau visage est visible au CHU de Poitiers : Sébastien Guilbault, chargé de mécénat au fonds Aliénor.

48 ans, en couple avec deux enfants, ce Bonnimatois est né à Poitiers où il y a fait toute sa scolarité, jusqu’à une maîtrise de gestion à l’institut d’administration des entreprises (IAE).

Pendant une quinzaine d’année, avec son frère, il a été gérant d’un célèbre magasin de négoce électronique pour le grand public, d’abord situé au Grand Large, sur la commune de Saint-Benoit (86) jusqu’en 2006, puis à Poitiers Sud jusqu’en 2010.

La concurrence accrue, basée sur le prix, ne correspondant plus aux valeurs de l’entreprise familiale, Sébastien et son frère ont baissé le rideau de cette enseigne.

Toujours dans le milieu entrepreneurial, Sébastien Guilbault a intégré le MEDEF de la Vienne en 2010, pendant six ans, en tant que chargé de développement des relations adhérents. Ses objectifs principaux étaient d’intégrer de nouveaux membres et de contribuer à l’animation de ce réseau de chefs d’entreprise.

A la fin de cette aventure puis jusqu’en 2023, il a pu explorer de nouveaux horizons, tel l’immobilier professionnel en tant qu’indépendant, puis auprès d’élus municipaux, ou d’artisans à la chambre de métiers de la Vienne.

Quand l’opportunité s’est offerte à lui d’œuvrer pour le fonds Aliénor, il n’a pas hésité un instant ! Ses fonctions de chargé de mécénat lui permettent en premier lieu d’aller au-devant des décideurs économiques pour leur présenter une cause qui a sens à ses yeux, qui lui est chère, à savoir la santé individuelle et collective.

Selon lui, tous les acteurs du territoire ont potentiellement un lien avec le CHU de Poitiers, et chacun d’entre eux représente, quelque part, un mécène potentiel. C’est un mécénat qui peut à la fois permettre de faire avancer les projets de recherche médicale et paramédicale du fonds Aliénor, et aussi leur offrir une porte d’entrée au CHU, différente de celles dont ils ont l’habitude.

En second lieu, il lui a semblé important de préserver et d’ancrer l’outil médical sur le territoire, et de maintenir cette proximité entre la recherche, la mise en application et les patients. Pour ce faire, le fonds Aliénor est un outil idéal pour solidariser le CHU de Poitiers à son environnement, à son écosystème.

Très motivé pour donner un sens à ses actions, il entend « œuvrer pour le développement de la recherche en soins et l’innovation médicale au sein de cet établissement d’excellence » qu’il affectionne tant.

Sébastien Guilbault